J’ai testé pour vous … Daylily Paris

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L'histoire de DAYLILY PARIS

Soins naturels, clean, sensoriels et efficaces, adaptés aux besoins des femmes enceintes & allaitantes – 100% formulés et produits en France – Certifiés Vegan & Cruelty-free – Développés avec un expert sage-femme.

Daylily Paris est une marque Française de cosmétiques clean qui s’adressent à toutes les femmes : qu’elles soient enceintes, allaitantes ou tout simplement à la recherche de soins naturels et clean ! La marque a été fondée par deux amies Audrey & Diane passionnées par le monde de la beauté. C’est lors d’un stage dans une entreprise spécialisée dans le Monoï à Tahiti qu’Audrey rencontre son mari,  sage-femme ! 

Les années passent et tandis qu’Audrey et Diane affinent leurs connaissances à travers leurs multiples expériences professionnelles, leur intérêt pour la beauté naturelle ne fait que croître. Alors qu’Audrey évolue au contact de grands groupes de cosmétiques, Diane, elle, travaille dans une petite entreprise cosmétique familiale et touche à tout – un poste qu’elle quitte toutefois pour partir voyager en Asie du Sud-Est et en Australie. Au cours de son périple, elle fait la rencontre d’Hua, d’origine chinoise, qui lui parle de la daylily, une fleur cultivée en Asie de l’Est. Symbole de la maternité, elle y est consommée avant l’accouchement pour ses pouvoirs apaisants ancestraux – une anecdote qui restera gravée dans un coin de sa tête.

Lorsqu’Audrey tombe enceinte fin 2013, elle ne trouve aucune marque qui répond aux réelles attentes des futures mamans.  Beaucoup de marques sont à éviter faute d’ingrédients clean, l’application de ses soins de grossesse devient alors pour elle une véritable corvée plutôt qu’un moment de bonheur et de partage avec son bébé.  Les deux amies voient cet heureux événement comme un signe de l’univers et elles décident de concrétiser leur idée …

C’est la naissance de Daylily Paris

J’ai découvert la marque durant ma grossesse et je l’utilise encore aujourd’hui en post-partum. Depuis ma grossesse, je fais très attention aux soins que j’utilise pour moi et bien évidemment pour Louis maintenant. La plupart des produits anti-vergetures et autres cosmétiques de grossesse sont composés de produits chimiques, parfums et perturbateurs endocriniens . Il faut redoubler de vigilance sur les produits utilisés durant la grossesse car tous les composants nocifs sont transmis au foetus.

Les produits Daylily Paris sont hypoallergéniques,, sans paraben, sans phénoxyéthanol, compatibles avec l’allaitement, sans risque pour la future maman et son bébé (les huiles essentielles sont exclues de leurs compositions), 100% fabriqués en France à base de produits d’origine naturels et certifiés vegan, sans alcool, conservateurs dangereux ou autres allergènes… mais également cruelty-free c’est à dire non testés sur les animaux… 

Jusqu’à l’accouchement j’ai utilisé quotidiennement : l’ Huile Sensorielle et la crème fondante. C’est devenu mon rituel matin & soir, un vrai moment de bonheur et de partage avec Loulou qui était dans mon ventre. Aujourd’hui, cinq mois après avoir accouché la marque m’accompagne toujours au quotidien, j’utilise l’huile mère-veilleuse qui me rappelle l’huile sensorielle qui était mon produit chouchou. Je l’utilise au quotidien pour hydrater ma peau et mes cheveux. 

Cette huile multi-fonctions est naturelle et hypoallergénique, la formule de l’huile est clean sans perturbateurs endocriniens , sans huiles minérales, sans alcool, sans huiles essentielles ni substances controversées. 

L’huile est composée de 5 huiles végétales : argan, noisette, coco, avocat & macadamia reconnues pour leurs propriétés nourrissantes et réparatrices.

La marque vient de lancer un tout nouveau produit … Le déodorant caresse ! Un déodorant adapté pour les jeunes mamans, allaitantes ou non et plus généralement pour toutes les femmes à la recherche d’un déodorant clean et efficace.

Depuis la grossesse, je transpire plus et du coup j’ai besoin de me remettre du déodorant dans la journée et vu que je me rase sous les bras, j’avais souvent les aisselles irritées. 

Ça fait quelques semaines que j’essaie le déodorant caresse et j’ai remarqué une nette amélioration. Ma peau est beaucoup plus douce,  je n’ai pas besoin de me remettre du déodorant dans la journée et il ne tache pas les vêtements il ne laisse aucun fini gras ni collant, c’est très agréable !

Il régule la transpiration et prévient les mauvaises odeurs sans agresser votre peau. Les aisselles, même les plus sensibles, “respirent” et sont apaisées, sans laisser de traces sur les vêtements.

Le Déo Caresse a été développé spécifiquement pour la femme enceinte et allaitante en respectant une charte clean. Il est compatible pendant la grossesse ET l’allaitement. 98 % des ingrédients sont d’origine naturelle.

Il est enrichi en poudre d’arrow root bio, en citrate de triéthyle et en polysaccharide naturel : reconnus pour leurs propriétés absorbantes, anti odorantes et anti bactériennes.

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Donner la vie en 2020 : Récit de mon accouchement

Je suis heureuse d’avoir porté Louis jusqu’au terme et même plus qu’au terme puisqu’il est né à 41 semaines et trois jours. J’ai profité jusqu’au bout de l’avoir rien que pour moi. Et puis j’ai tant aimé mon ventre,  je ne me suis jamais sentie aussi belle qu’enceinte. Je me suis sentie femme pour la première fois en 29 ans. Je suis devenue Maman le 08 août 2020 à 06H59.

Projet de naissance : Le but d’un projet de naissance est de préparer en amont son accouchement. Il est tout à fait possible d’en discuter avec son gynécologue ou sa sage femme afin de voir les différents scénarios possible.

 » Que l’accouchement soit médicalisé ou non, on peut émettre des souhaits. »

J’ai accouché dans une maternité publique et celui-ci a été très bien pris par la sage femme (d’ailleurs c’est elle qui me l’a demandé lors de la consultation le jour de mon terme) afin que l’on en en discute. Nous avons repris les différents points et elle m’a expliqué ce qui serait possible ou non. Par exemple, je ne savais pas mais ma maternité n’autorise pas les papas en cas de césarienne d’urgence ou non et lors de la pose de la péridurale. Je fais confiance au corps médicale mais cela m’a rassuré de mettre à l’écrit différents points qui selon moi étaient importants à prendre en considération et le fait d’écrire permet de se projeter.

Je l’ai rédigé sur un document word avec trois parties (avant le travail – pendant le travail et à l’arrivée du bébé).

Vous pouvez retrouver mon projet de naissance ici ainsi qu’une trame vierge : PROJET DE NAISSANCE .

être enceinte durant la crise sanitaire

Même si je suis tombée enceinte sur la fin d’année 2019, j’ai vécu la plus grande partie de ma grossesse sur cette année 2020, et quelle année ! D’ailleurs si je devais résumer en un seul mot le fait d’avoir été enceinte durant la crise sanitaire et plus particulièrement pendant le confinement : SOLITUDE.

Ni mes parents, ni mes grands parents ne m’ont vu enceinte, juste mes beaux parents et ma belle soeur deux fois au premier déconfinement et quelques semaines avant d’accoucher. Quelle tristesse ! J’ai clairement l’impression que ce foutu COVID m’a volé de précieux moments en famille ! 

La crise sanitaire a aussi rendu mon suivi de grossesse plus compliqué. En effet Flo n’a pas pu assister à toutes les échographies, heureusement que j’étais suivie tous les mois. Nous n’avons pas pu visiter la maternité avant l’accouchement et les cours de préparation à l’accouchement, pour la plupart se sont passés en visio (ce qui les a rendu moins pertinents.)

ET si bébé arrivait après le terme ?

Il faut savoir qu’en France le terme est fixé à 41 semaines de grossesse. La veille de mon terme j’ai donc appelé ma maternité afin d’avoir un rendez-vous pour le lendemain (jour du terme : 04 août) pour faire le point. C’est un rendez-vous classique : échographie pour vérifier que le bébé ai assez de liquide amniotique, monitoring d’une vingtaine de minutes et toucher du col.

Ma maternité part du principe qu’il faut avoir accouché maximum une semaine après terme à savoir le 11 août pour moi, et pour un premier bébé on parle de déclenchement à J+5 si le travail ne se met pas en route naturellement.

Alors jusqu’à 41 semaines de grossesse, si rien ne se passe on garde patience et, à partir de là rendez-vous tous les deux jours à la maternité : monitoring et toucher du col pour moi (06 août).

06 AOÛT 2020 : J’ai eu de la chance, j’ai vu la même sage-femme qu’au premier rendez-vous, elle m’a de nouveau ausculté : monitoring et toucher du col, contrairement au premier rendez-vous mon col avait légèrement bougé mais le travail n’avait pas du tout commencé. Elle a commencé à m’expliquer la suite (dans l’hypothèse où je n’accouchais pas avant) : Hospitalisation le samedi 08 août au soir pour un déclenchement soit le samedi soir soit dimanche matin.

FINALEMENT ...

Dans la nuit du jeudi 06 août au vendredi 07 août j’ai commencé à ressentir les premiers contractions, douloureuses mais absolument pas régulières … Mais je sentais que le travail se préparait.

  • Pour noter mes contractions, j’ai utilisé l’application « notes » de mon téléphone et je notais dessus chaque heure/minutes de contractions et je notais également si je prenais un spasfon.

C’est dans l’après midi que celles-ci se sont intensifiées mais surtout rapprochées. J’ai appelé la maternité une première qui m’a conseillé d’attendre encore un peu, ce n’est que vers 19H que nous nous nous sommes dirigés vers la maternité. Ça y est nous allions rencontrer notre fils, j’étais excitée mais sereine, j’avais hâte mais à la fois j’avais envie de profiter de ces derniers instants à 2, et ces derniers instants avec mon bébé rien que pour moi.

Une fois arrivée à la maternité, j’ai de suite été prise en charge par une adorable sage femme : bandelette urinaire et toucher du col, le col est ouvert à 2 ! Elle m’a donc installé dans une chambre, le temps que le travail évolue tranquillement et m’a placé sous monitoring pour surveiller les contractions.

J’ai perdu les eaux un peu après 22H, la sage femme m’a de suite proposé de m’installer en salle de naissance pour que l’anesthésiste puisse me poser la péridurale. Concernant la péridurale je m’attendais à pire (comme quoi il faut arrêter d’écouter tout et n’importe quoi, chaque expérience est différente), j’ai eu plus de difficultés à gérer mes contractions que peur de l’aiguille.

La nuit a été douce et calme, le col s’ouvrait progressivement nous étions tous les deux dans notre bulle avec Flo … Sans trop se rendre compte que nous allions faire la plus belle rencontre de notre vie. Louis nous aura fait quand même deux belles frayeurs, il a eu du mal à supporter l’ocytocine et son coeur a ralentit à deux reprises.

Jusque là … Dans l’ensemble tout était parfait !

COVID DE M**** , MASQUE DE M****

Complètement dilatée, il faut y aller ! Pieds sur l’étrier, maintenant il faut pousser ! J’ai commencé à pousser mais je n’y arrivais pas, j’avais le masque et quand la sage femme me demandait de pousser : Soit j’allais m’évanouir soit vomir. Je n’ai pas eu le droit d’enlever le masque, je devais pousser avec un masque de m**** sur le visage (Mais comment voulez vous que je respire là dessous, j’étouffais !) La sage femme a commencé à s’agacer car sa garde allait bientôt se terminer et Flo lui a dit assez sèchement que vu la couleur de mon visage je ne pouvais malheureusement pas faire mieux …

C’est là … qu’une, deux, trois, quatre, cinq … presque 10 personnes sont rentrées dans la salle je ne me souviens plus exactement ! C’était soit on partait en césarienne car ça faisait trop longtemps que j’avais commencé à pousser, soit les forceps … ! (Ah oui j’avais oublié de vous dire Louis était estimé à plus de 4 kilos donc le gynécologue voulait s’assurer que tout soit ok.)

Les gynécologues ont été assez douces, merci la péridurale je n’ai rien senti et surtout je n’ai pas essayé de regarder. Louis est né à 06H59 grâce aux forceps pas grâce à moi … ! je m’en suis terriblement voulu les quinze premiers jours … Je me sentais nulle de ne pas avoir mis au monde seule mon fils, je m’en voulais qu’il soit né marqué au visage par ces fichues cuillères. Parfois, le sujet est encore sensible, quelle frustration de ne pas voir pu mettre au monde mon fils dans de meilleures conditions.

Les premières semaines ont été assez difficiles psychologiquement, j’ai eu du mal à digérer cette fin d’accouchement, je m’en suis voulue. Puis j’ai beaucoup échangé avec des mamans & mes proches qui m’ont aidé à accepter la situation.

Je me suis clairement sentie concernée par cet article (lire ici).

et le post partum dans tout ça ?

 » Physiquement «  je n’ai pas souffert de l’accouchement. J’ai eu des lochies* pendant quasiment un mois, mais peu abondantes, du moins pas comme je l’avais imaginé.

Il s’agit d’un écoulement utérin, mélange de sang, de liquide et de minuscules fragments de membranes, qui dure 2 à 3 semaines après l’accouchement, le temps que l’ utérus retrouve sa taille d’origine (cette sécrétion signifie que la plaie faite par le placenta sur la paroi utérine est en train de cicatriser).

J’ai repris la pilule 21 jours après l’accouchement, elle s’appelle Optimizette elle est micro dosée et compatible avec l’allaitement. Je n’ai pas eu de retour de couches mais c’est normal l’allaitement le retarde. Je n’ai pas perdu tous mes kilos de grossesse, du moins je ne pense pas, j’avoue ne pas m’être focalisée sur mon poids, ce n’est qu’un chiffre. Je me sens bien dans ma peau c’est le principal !

Psychologiquement, les premier temps ont été un peu compliqués entre la frustration de cette fin d’accouchement et le tsunami d’émotions … J’ai perdu les pédales quelques fois. Pleurs, angoisse, peur … Mais avec le recul je me dis que c’est tout à fait normal, la chute d’hormones n’est pas toujours évidente à gérer. Aujourd’hui, je vais mieux et je suis épanouie dans mon nouveau rôle de maman.

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L’allaitement maternel … Cette merveilleuse aventure !

Cette semaine Louis va commencer la diversification alimentaire, nous n’avons pas commencé avant car il ne portait aucun intérêt à la nourriture lorsqu’on lui présentait devant la bouche. Cependant cela fait quelques jours qu’il commence à réagir alors on s’est dit que c’était le bon moment. Nous allons donc entamer un nouveau rythme tout en continuant l’allaitement, cette belle expérience que j’avais envie de vous partager car vous me posez très souvent des questions sur Instagram.

LA PRÉPARATION - Avant et pendant la grossesse

Avant de tomber enceinte, je ne m’étais pas du tout posé la question si j’allaiterais un jour mon enfant. Cependant dès lors que je suis tombée enceinte, c’est naturellement que je me suis dis que je souhaiterais allaiter Louis sans trop me poser de questions. C’était une évidence et j’espérais du plus profond de mon coeur que cela fonctionne. 

J’ai lu un seul livre  » Mon allaitement comme je le veux «  de Christel & Karima de Mumtobeparty. Mumtobeparty est d’ailleurs une super source d’informations sur la maternité en général. Ce que j’ai apprécié dans ce livre, c’est qu’il aborde simplement le sujet et il est très déculpabilisant. Je n’aime pas les livres  » pro allaitement  » pour qui, si vous n’allaitez pas vous êtes une mauvaise mère. Vous ferez comme vous voulez mais surtout comme vous pourrez !

C’est d’ailleurs ce que je me suis dis tout au long de ma grossesse,  » je ferais comme je peux le jour J  » Ça marche tant mieux, ça ne fonctionne pas pour telle ou telle raison j’aurai donné mon maximum.

LES PREMIERS JOURS - LES Douleurs, la peur

Effectivement, comme on l’entend souvent les premiers jours peuvent être assez douloureux car il faut que le corps s’habitue à cette nouvelle sensation. La première journée a été la plus douloureuse, j’ai eu une crevasse dès la première tétée sur l’un des seins. Les crevasses rendent les tétés douloureuses, c’est là qu’il ne faut pas lâcher et s’accrocher.

Pour vous soulager il existe plusieurs produits et clairement certains ont sauvé mon allaitement. Pour le séjour à la maternité je m’étais préparée une petite trousse d’allaitement : La crème à la Lanoline LANSINOH (cette crème n’a pas besoin d’être rincée avant la tétée), des bouts de seins LANSINOH et des tisanes de la marque WELEDA.

Les bouts de seins m’ont beaucoup aidé dans le démarrage de mon allaitement, j’ai allaité Louis avec les bouts de seins pendant un peu plus d’un mois. (Le bout de sein s’applique sur le mamelon, c’est une petite ventouse qui se place sur le sein, la bouche du bébé n’est dont pas en contact direct avec le téton). Ils m’ont rassuré et m’ont donné confiance, dès que je me suis sentie prête je les ai retiré. Louis a pris mon sein sans aucune difficulté.

J’ai eu de la chance, j’ai été très bien accompagnée à la maternité pendant mon séjour les auxiliaires de puériculture et sage femme m’ont épaulé & rassuré jour et nuit, je pense que c’est très important et que ça joue beaucoup. Un mauvais accompagnement peut clairement être décourageant.

LE RETOUR À LA MAISON ET LE RYTHME DES TÉTÉS

L’arrivée d’un enfant dans notre vie est un grand chamboulement, on se découvre, on apprend à se connaitre, on se pose beaucoup de questions et surtout lorsqu’on allaite … On se demande si la quantité bu par le bébé est suffisante, si notre lait est nourrissant … 

Les visites post-natal avec la sage femme sont vraiment rassurantes car le Bébé est pesé à chaque visite. Voyant que mon Loulou prenait du poids j’ai décidé de me faire confiance mais surtout de nous faire confiance. Depuis sa naissance Louis est allaité à la demande (Je n’ai jamais « respecter le rythme des tétées toutes les trois ou quatre heures « ) dès lors que je ressens qu’il a faim je le nourris. (Il faut savoir que le lait maternel se digère beaucoup plus rapidement que le lait artificiel.)

Au moindre doute, il ne faut pas hésiter à se renseigner, à se faire conseiller par des professionnels. Vous pouvez même vous rendre dans la PMI de votre ville pour peser votre Bébé ou poser des questions.

A presque 5 mois Louis tête entre cinq et sept fois par jour et parfois le soir je rajoute une tétée réconfortante lorsqu’il a du mal à s’endormir (beaucoup plus courte qu’une tétée habituelle, il tête pour se rassurer et s’endort très rapidement.) Vous ferez vite la différence entre une tétée réconfortante et une tétée nourrissante ou vous l’entendrez déglutir.

TIRE LAIT - électrique ou manuel ?

Pour une utilisation optimale je vous conseille vraiment un tire lait électrique, c’est vraiment plus performant si vous voulez vous en servir régulièrement. Sachez que si vous ne souhaitez pas en acheter un vous pouvez le louer en pharmacie et si vous avez une ordonnance c’est remboursé par la sécurité sociale. 

Pour ma part, j’ai le tire lait deux en un de la marque MAM il a une fonction électrique et une fonction manuelle que j’ai du utiliser une ou deux fois. Il est très pratique, petit et léger très facile à transporter ! Et surtout, il se charge et a une autonomie de cinq heures, très pratique si vous n’avez pas de prise à proximité.

A la maternité, on m’avait conseillé d’attendre que l’allaitement soit bien mis en place avant de tirer mon lait. J’ai donc commencé à tirer mon lait lorsque Louis avait un peu plus d’un mois.

quelques questions en vrac

  • Tétine oui ou non ? Louis prend la tétine depuis sa naissance et nous n’avons eu aucun problème de confusion sein / tétine. Les avis sont très partagés à ce sujet, là aussi faites comme vous le sentez.  Chaque enfant est différent et a des besoins différents. La tétine est adaptée aux Bébés ayant un besoin de succion ce qui est le cas de Louis. La tétine peut rassurer Bébé, l’aider à s’endormir (sans pour autant qu’il soit  » pendu au sein ».)
  • Travail & allaitement : J’ai la chance de travailler de la maison, je n’ai donc pas de soucis d’organisation, j’organise ma journée en fonction de Louis. Lorsque j’ai besoin de m’absenter je tire mon lait. Parfois je tire d’avance et je conserve mon lait au congélateur dans des sachets de conservation prévus à cet effet.
  • Soulager un engorgement : J’ai eu quelques fois un engorgement au niveau d’un sein, c’est assez douloureux et pour le soulager : je prend une douche bien chaude pour vider mon sein, je tire mon lait si besoin et j’utilise des coussinets apaisants de la marque LANSINOH.
  • Louis fait il ses nuits ? Non Louis ne fait pas encore ses nuits il tête encore au moins une fois dans la nuit. Louis est un petit dormeur, il dort environ 1H le matin et 2H l’après midi depuis tout petit. Le soir nous avons instauré un petit rituel : bain entre 18H et 18H30, tétée, câlins et dodo vers 20H 20H30.

CONSEILS EN CAS DE BAISSE DE PRODUCTION

  • Boire beaucoup d’eau, se reposer et manger le plus sainement possible. Pour ma part depuis la naissance de Louis je bois l’eau MontRoucous (très faiblement minéralisée).
  • Boire des tisanes d’allaitement, il en existe plusieurs marques (Weleda, Picot …) en général au fenouil ou fruits rouges.
  • Prendre des compléments alimentaires (Gynéfam, Galacgtogyl …)

L’allaitement … Cette aventure merveilleuse. Bientôt cinq mois que j’allaite Louis et jamais je n’aurai imaginé vivre une si belle expérience. Je ne sais pas encore quand cela s’arrêtera mais je garderais de précieux souvenirs de ces moments à part, hors du temps avec mon Louis.

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Quelle marque de couches et produits choisir pour son bébé ?

Avec mon code BONJOURMARIELOVECARRYBOO vous bénéficiez d’une réduction de 5 euros sur votre premier mois d’abonnement.

Depuis la naissance de Louis, nous utilisons la marque Carryboo pour les couches & les soins (liniment, gel lavant, eau micellaire & lait de toilette).

En moyenne, je change Louis trois fois le matin, trois ou quatre fois l’après midi, une fois après le bain le soir et parfois une fois avant le coucher … Soit entre 7 à 10 couches par jour  ! C’est très rare que je le change dans la nuit et le matin au moment du change aucune fuite ou odeur.

Pour la petite histoire :

Carryboo, créée en 2017 est une marque Française du groupe Naturopera qui regroupe 7 marques engagées, bio et naturelles et plus de 120 références dans le secteur du Bébé, de l’Hygiène féminine et de l’entretien de la maison. Le Groupe Naturopera s’engage auprès des Hommes à offrir avec éthique des produits sains et porteurs de sens pour changer la consommation. Tous les produits Carryboo sont fabriqués en France !

«  Carryboo est une couche French, Clean & Chou ! « 

Vous pouvez les retrouver en grandes surfaces ou les acheter directement sur le site de la marque à l’unité ou sous forme d’abonnement mensuel et vous pourrez choisir l’intervalle de livraison ( 3,4 ou 5 semaines) que vous pouvez modifier à tout moment, ce qui permet de s’adapter au mieux aux besoins du bébé. Tout paquet non entamé et acheté en ligne peut être renvoyé pour changement de taille !

Des couches clean pour les fesses de Loulou !

Bien évidemment, pour choisir les couches de Louis, j’ai pris en compte certains critères : confort, qualité, absence de produits nocifs !

Les couches dermo-sensitives Carryboo sont/ont :

  • Testées dermatologiquement : non irritantes, hypoallergéniques, douces et confortables. Elles ne contiennent ni lotion, ni parfum.
  • Elles contiennent 0% petrolatum, chlore, OGM et latex.
  • Elles sont contrôlées régulièrement contre les substances nocives (laboratoire EUROFINS).
  • Le voile de surface et la cellulose naturelle contenue dans le matelas absorbant des couches Carryboo ont été blanchis sans chlore afin d’éviter tout risque pour la santé de bébé et certifiée FSC® (FSC® est l’abréviation de “Forest Stewardship Council” (Conseil pour la bonne gestion des forêts). La certification FSC garanti que le produit a été fabriqué à partir de matériaux issus de forêts gérées de façon responsable et durable dans une logique de conciliation des aspects environnementaux, économiques et sociaux.).
  • Les couches Carryboo ont des attaches ultra-extensibles et des barrières anti-fuites latérales qui vont venir épouser les cuisses de bébé, garantissant confort et protection optimale pendant 12h, de jour comme de nuit.
  • Les couches Carryboo ont obtenu le label Nordic Ecolabel/Swan qui garantit un impact limité sur l’environnement que ce soit dans le choix des matières premières, lors de la production ou encore du transport et de la distribution.
  • 6 tailles disponibles : de 2 à 30 kg.
  •  

Voiles naturels ? Pas naturels ?

La marque s’engage à avoir l’impact environnemental le plus faible et a volontairement décidé  de ne pas s’orienter vers des « voiles dits naturels » à cause de leur impact environnemental néfaste … Et je n’étais pas du tout informée avant de faire une réunion Zoom avec la marque afin d’avoir plus d’informations sur le sujet.

Les voiles dits naturels sont aujourd’hui composés de G.P.E (green PE = Polyéthylène issue de canne à sucre) et PLA (acide polylactique issue de l’amidon de maïs). La production de ces éléments est catastrophique pour l’environnement !

Carryboo* utilise des voiles en PP (polypropylène), PE (polyéthylène) et PES (polyester).Ces matières sont également utilisées par exemple pour les compresses chirurgicales, utilisées dans les hôpitaux. Elles sont depuis longtemps testées et ont été approuvées sans danger pour la santé par des laboratoires indépendants. Elles sont par ailleurs, pour le moment, meilleures pour l’environnement que les voiles dits « naturels ».

Soins : Change & bain

 La marque Carryboo propose également une gamme de produits d’hygiène pour bébé pour le change et le bain certifiés 100% Bio & naturels. Tous les soins validés par La Vérité sur les Cosmétiques et ils ne contiennent aucun des 180 allergènes listés par Safelife.  Ils sont sans alcool, sans parabène, sans phénoxyéthanol, que du bon pour bébé !

D’ailleurs si vous souhaitez essayer les produits de la marque, il existe un kit d’essai très pratique à mettre dans le sac à langer : cliquez ici .

Le bain : Louis prend son bain chaque soir entre 18H et 18H30 et en général je le savonne un jour sur deux avec le gel lavant à l’abricot bio

Le change : Pour le change j’utilise le liniment oléo calcaire à l’huile d’olive qui est composé à 100% d’ingrédients d’origine naturelle et l’eau micellaire qui est sans parfum ni alcool et j’alterne des fois avec le lait de toilette au beurre de karité bio.

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